Sujet: Hatoko Fumie { 100% : fiche finie Jeu 9 Juil - 21:23 | |
| HATOKO FUMIE deliver the joy INFOS EN VRAC
Nom : Hatoko
Prénom : Fumie
Âge : 17 ans
Sexe : ♀
► Groupe & Rang : Étudiante, classe A ► Instrument(s) pratiqué(s) : a des bases de violon, piano ► Métier : Étudiante ► Ambition : Devenir idole
Avatar : Kirisaki Chitoge de Nisekoi
Voix : Emi Nitta | |
STORY Pourquoi ? - ta cervelle était presque obsédée par cette question. Normal, pour une enfant, disait-on, mais dans ton cas, ç'a cessé d'être de la curiosité naïve d'une petite : avec l'âge, tes pourquoi devenaient sombres et surtout très douloureux. Le pourquoi de ton histoire, de ton destin : pourquoi cela devait-il se passer ainsi ? Tu voulais avoir une vie normale, tu voulais avoir des parents affectueux et être une fille qui n'a rien à dire quand on lui demandait de raconter ses problèmes. Mais d'un autre côté, si ton enfance s'était passée autrement, serais-tu là où tu es en ce moment, à te créer cet avenir sur scène ? Douleur ? Destin ? Problèmes ? Scène ? Commençons par le début. Tu étais née un quinze août en compagnie de ta sœur jumelle. Aimée par tes parents, les adorant à ton tour, tu grandissais comme chaque bébé, au sein d'une famille parfaite, que tout le monde pouvait envier. Et malheureusement, tout ce qui est bien a une fin. Dans le cas de ton enfance normale, cette fin ne tarda pas à arriver. Tu étais encore petite, tu ne pouvais pas vraiment comprendre tout ce qui se déroulait devant tes yeux. Tu entendais de plus en plus souvent des cris, il t'arrivait de te réveiller la nuit en les entendant. Tu faisais alors une mine boudeuse, parfois tu lançais un regard rempli d'incompréhension vers la porte. Et après un temps passé à se disputer avec ta mère, ton père ouvrit la porte de la maison avec ses valises. Tu ne comprenais toujours pas, tu ne savais pas vraiment que penser : allait-il en voyage ? Allait-il déposer ces valises quelque part ? Il allait revenir, pas vrai– ?Ce ne fut pas le cas. Tu ne revis plus jamais ce père aimant qui coiffait les cheveux de temps en temps. Ses câlins te manquaient et ta mère semblait penser la même chose, au tout début. Et puis, elle changea drastiquement. Tu ne la reconnaissais plus, ce n'était plus la même. Elle était devenue un monstre haineux dont personne ne pouvait vous protéger. Papa, pourquoi tu ne reviens pas ? Pourquoi ne viens-tu pas nous sauver, Sayuri et moi ? C'est ce que tu avais l'habitude de penser. Mais tes espoirs s'éteignaient progressivement : tu compris que la porte de cette maison ne sera plus jamais ouverte par papa, tu n'entendras plus sa voix et il ne t'aidera pas. Ni toi, ni ta sœur. Tu n'en pouvais plus de voir ta mère frapper Sayuri, de l'entendre hurler, de subir ses punitions. Tu savais tout comme ta jumelle que votre mère était nerveuse, instable, mais que pouviez-vous y faire ? Éviter de faire ce qu'il ne fallait pas était trop dur, elle était capable de vous réprimander pour tout et n'importe quoi. Tu l'aimais, pourtant. C'était ta maman. Si papa revenait, serait-elle heureuse de nouveau ? Tu ne cessais de te le demander, et tu finis de demander son avis à Sayuri, une nuit, quand tu étais sûre que maman n'écoutait pas. Mais papa ne reviendra pas, tu le savais. Un autre soir, quand ta mère semblait plus calme – endormie à moitié surtout – tu décides de lui montrer ton affection. Tu ne penses pas aux conséquences, tu ne te demandes pas si c'est une bonne idée, tu es juste une enfant de sept ans qui veut pouvoir montrer à sa mère à quel point elle l'aime, à quel point elle lui manque. Alors tu montes maladroitement sur le canapé et te mets sur les genoux de l'adulte. En voulant la serrer dans un gros câlin d'enfant, tu te retrouvas à moitié sur le sol, à moitié sur la basse table devant le canapé, renversant un verre et son contenu sur le tapis. Maman te regardait avec une peur qui laissa tout de suite place à la haine que tu voyais si souvent dans ses yeux. Tu avais peur, tu regrettas tout de suite, tu t'excusas mille fois, tu essayas de fuir, mais c'était trop tard : elle recommence. Depuis – tu ne savais pas trop si cette autre soirée y était pour quelque chose – tu vis Sayuri se prendre bien plus de coups que toi. Certes, tu ne cessais pas d'être victime, c'était impossible, mais ta sœur répondait à ses recherches de victime plus souvent. Elle se faisait frapper à ta place aussi, elle s'excusait pour ce dont tu étais censée être coupable, elle semblait simplement te protéger. Tu lui étais reconnaissante pour tout ce qu'elle faisait pour toi, mais tu te sentais coupable. C'était injuste et tu avais l'impression d'être un poids pour ta jumelle. Elle t'aidait autant, elle souffrait pour toi, elle chantait le soir, comme pour te calmer et qui te câlinait quand tu pleurais. Tu voulais en faire autant pour elle, mais tu étais lâche. Tu te tenais souvent derrière un meuble, la regardant se faire souffrir, ne sachant pas quoi faire et comment. Il t'est arrivé, trois fois ou quatre, de courir vers ta sœur et essayer de l'éloigner de votre mère, mais ça semblait être encore plus dangereux, alors tu évitais. Il arriva un jour où votre souffrance était censée se terminer : enragée, votre maman a poussé Sayuri sur toi avec une force telle que vous traversiez la baie vitrée en la cassant. Bien sûr, l'action ne passa pas inaperçue pour les voisins qui se décidèrent naturellement à vous aider, en appelant les services adéquats. Tu voyais du rouge, du sang, sur ta peau et celle de ta jumelle, du sang qui tâchait vos vêtements. Ça faisait mal, toutes ces coupures combinées aux bleus – mais c'était pire pour ta sœur, tu l'imaginais bien. Elle te serrait dans tes bras, tu pleurais, ne pouvant pas t'arrêter, même si tu le voulais. C'est ainsi que vous vous retrouviez à l'orphelinat : ça te faisait peur et quitter ta mère était légèrement douloureux, mais tu avais Sayuri. Elle était devenue plus qu'une sœur après tous ces malheurs passés ensemble et vous ne cessiez de vous rapprocher. Tu n'avais plus qu'elle et elle n'avait plus que toi. Seules au monde, vous deviez vous protéger mutuellement, vous deviez vous aider. Vous concentriez donc vos vies l'une autour de l'autre, répondant à vos besoins, vous refermant dans une petite bulle, votre monde à vous. Une nouvelle chance s'offre bientôt à vous, une offre de nouvelle vie, meilleure peut-être : une famille s'intéresse à vous. Un couple à un enfant, Sayuri paraît sceptique, et tu la comprends, en quelque sorte. Vous finissez par devenir les souffre-douleur de la jeune fille qui semble vous haïr. Serait-ce de la jalousie ? Serait-elle comme maman ? Même si tu pouvais un peu la comprendre, d'un côté, sans vraiment être sûre de toi et sans vraiment l'accepter, tu ne pouvais pas lui pardonner tout ce qu'elle a fait pendant le court temps que vous passiez dans cette famille. Tu te rappelleras toujours du jour où tu te disputas violemment avec, sans que ta jumelle ne le sache. La dispute la concernait, d'ailleurs : le même jour, Sayuri était disparue, tu ne savais pas trop pourquoi, mais tu suspectais l'autre. Tu n'en pouvais plus, de supporter ses bêtises et d'être réprimandée, tout comme ta sœur, à la place de la fille du couple. En voyant une Sayuri effrayée sortir du placard, tu avais envie de pleurer et de hurler sur la coupable, peut-être la frapper. Mais tu ne le fis pas. Tu cachas tes larmes, serrant fort ta sœur contre toi. Depuis, tu as appris à ne pas emmener Sayuri dans des petites pièces et tu évitais de prendre l’ascenseur, pour ne pas la laisser seule. Vous êtes retournées à l'orphelinat sans vraiment s'attarder sur cette famille dont la fille unique vous a causé tant de soucis – tu ne regrettais pas une seule seconde d'être partie. Tu avais peu d'espoirs d'être adoptée par une autre famille encore et surtout, tu craignais que la situation se reproduise ou, encore pire, que tu sois séparée de ta jumelle. Tu ne pouvais pas l'être, tu n'accepterais pas, même en échange d'un futur sûr et heureux. Votre retour fut court, ta sœur s'étant intéressée à un couple particulier dont les deux filles étaient mortes il y a un an de cela, dans un accident. Tu acceptas de les rejoindre, suivant ta sœur à chaque pas. Finalement, ce n'était pas une mauvaise idée : tu finis par t'attacher à ces deux personnes plus que gentilles, l'opposé total de ce monstre qu'était votre mère biologique – à laquelle il t'arrivait de penser assez souvent. Tu te demandais ce qu'elle faisait, est-ce que vous lui manquiez, ce qu'il lui est arrivé. Mais tu oublies vite tout cela, comme droguée par l'attention et l'affection que vous portaient vos parents adoptifs. Ils s'inquiétaient beaucoup pour vous et prenaient bien soin de votre santé, chose qui était rare au tout début de ton enfance assez difficile. Tu commenças à apprécier ce sentiment d'appartenance à une famille et celui de sûreté – tu ne te sentais plus en danger en te baladant dans la maison, tu n'avais plus vraiment peur de parler ou demander quelque chose. Tu arrivais même à sentir le manque des choses ou sentiments que tu n'éprouvais pas ou presque auparavant. Tu dormais bien, mangeais beaucoup, te souciais un peu plus de ton apparence, n'étais plus recouverte de bleus tout neufs chaque jour. Tu souriais souvent, mais parlais de moins en moins à ta sœur. Tu ne voulais pas lui déranger ou alors, tu la boudais peut-être, au fond de toi. Parce que tu t'en étais rendue compte, de son affection portée à vos parents actuels. Toi qui, avant, était la seule chose que Sayuri avait, tu devins simplement une personne importante. Tu étais jalouse, tu étais un peu en colère et ne supportais pas de partager cette place importante dans le cœur de ta jumelle. Alors, tu passais tes journées devant la télévision, regardant tout ce qui passait, avant de te concentrer sur un type d'émissions particulier : les concerts et des reportages, sur un thème bien particulier mais tout autant populaire, les idoles. Tu étais rapidement devenue une passionnée qui savait à peu près tout sur à peu près toutes les célébrités de ce type. Tu remarquas que ta sœur s'asseyait de plus en plus souvent à côté de toi, sur le canapé devant la télé, alors que tu regardais ces programmes que tu aimais. Tu chantonnais, même si c'était assez faux comme son et jouais tes mélodies préférées, apprenant le piano – oubliant ainsi le violon que tu avais choisi avant, n'ayant appris que les bases. C'étaient vos parents adoptifs qui vous l'ont proposé, et ça t'a beaucoup plu, parce que la musique était pour toi quelque chose de merveilleux. Tu étais décidée à jouer à la perfection et tu t'entraînais au chant par la même occasion. Tu commençais aussi à essayer de reproduire les chorégraphies que tu voyais à l'écran et te décidas à faire du sport plus régulièrement, plus que l'école ne vous l'imposait. Et puis, tu te rends compte de ton rêve : briller comme celles que tu admires, chanter avec les mêmes émotions, danser avec la même détermination, sourire avec une telle joie que ceux qui te voient sourient aussi – tu souhaitais devenir une part de ce monde du show-business, tu aimerais être une idole et t'exprimer par la musique. Et puis un jour, soudainement, vous êtes retournées à l'orphelinat. Tu ne savais pas si c'était bien, tu avais laissée ta jumelle décider, voyant qu'elle avait peur – ou c'est ce que tu croyais. Elle se chargea d'écrire une lettre à ce couple qui a bien voulu vous accueillir et si bien s'occuper de vous, mais tu regrettais, d'un côté. Il était vrai qu'ils t'appelaient Sora et que Sayuri devint Kana, ça arrivait de plus en plus souvent, ça faisait peut-être un peu peur, mais... N'étiez-vous pas bien là-bas ? Mais bon, tu acceptes la décision de ta sœur, espérant redevenir le centre de son monde, pour pouvoir te sentir un minimum importante. Ce ne fut pas vraiment le cas, au début. Tu sentais la distance devenir de plus en plus grande, et tu commenças à avoir vraiment peur de perdre ta sœur. Tu te dis que tu as dû être un trop grand poids pour elle, tu étais trop chiante, trop exigeante, trop capricieuse peut-être, tu regrettais. Tu ne le lui disais cependant pas et un jour, elle revint vers toi comme si ne rien était, comme si elle avait lu dans tes pensées. Tu lui proposas dès lors de t'inscrire avec toi à la Saotome Academy et elle ne sembla pas hésiter – c'était sûrement son rêve à elle aussi. Tu ne pensas pas une seule seconde pouvoir en être jalouse, mais, tu voulais qu'elle te suive pour ne pas la perdre, mais quand tu y penses maintenant... PSYCHOLOGIE Fumie est une fille énergique et la plupart du temps joyeuse, ce qui, d'après certains, est exactement ce qu'il faut pour pouvoir chanter et danser avec tout son cœur et apporter de la joie aux autres en travaillant comme idole. Fumie n'en est qu'au stade d'apprentissage mais elle montre un intérêt particulier à ce métier et est très enthousiaste à son sujet. Elle ferait probablement tout pour atteindre son objectif : devenir une professionnelle et briller comme ses modèles, celles qui l'ont motivée à suivre cette voie. Elle s'investit beaucoup dans le travail qui est censé la mener jusqu'au sommet. Elle semble de plus en plus passionnée chaque jour. Bien sûr, cela n'a pas que des points positifs : elle ne fait pas que plus travailler et obtenir des meilleurs résultats, elle se fatigue aussi, s'entraîne largement trop parfois, elle est peut-être un peu trop sérieuse dans ce qu'elle fait. Elle n'est pas vraiment raisonnable, dans un sens, puisqu'elle n'hésiterait pas à exercer ses talents jusqu'à la maladie et même pendant celle-ci, tout en se disant que c'est mieux ainsi. Elle ne se rend pas compte de ses efforts et en même temps, si : elle se dit que ce n'est pas assez, mais quand on la surpasse, elle n'en peut plus, se disant qu'elle a pourtant tout fait pour être la meilleure. Il lui arrive de faire des crises de jalousie rien que pour cela. En parlant de la jalousie, c'est maintenant un ressenti quotidien pour Fumie : observant sa sœur, Sayuri, elle a fini par se rendre compte du talent de celle-ci, l'enviant, la détestant presque. N'étaient-elles pas censées être proches ? Elles sont jumelles, après tout ! Elles devraient s'aimer, s'encourager et se protéger mutuellement ! Et c'est le cas : Fumie aime sa sœur plus que tout – c'est l'être vivant le plus important pour elle, une personne qu'elle doit protéger peu importe les conséquences, sa seule sœur, sa seule vraie famille. Elle se sent responsable des actions et sentiments de sa sœur, elle se sent parfois mère, parfois fille, en fonction de la situation. Qu'est-ce que Fumie ferait sans sa jumelle, qui lui a tant aidé dans le passé et qui continue de la suivre, de l'encourager et de prêter attention à l'adolescente. Elle l'adore et lui est entièrement reconnaissante, elle la suivrait sûrement dans la mort, elle est sûre de ne pouvoir être heureuse qu'en sa présence. Même si ce n'est pas rare, elle ferait tout pour les câlins et les gestes affectifs de sa part... Et pourtant. Et pourtant, c'est probablement la personne que Fumie déteste le plus, mis à part ses parents biologiques – qu'elle ne haïssait pas vraiment, c'était plus du regret, de la tristesse, de la solitude que la haine pure. La jalousie est une émotion destructrice, c'est comme une arme, comme une bombe qui peut exploser à tout moment. Elle ne rapporte rien de bon et le cas de Fumie n'est pas une exception. Elle voudrait juste vivre tranquillement, aimant sa sœur et ne passant du temps qu'avec elle ou au travail. Mais dans la vie, rien n'est si simple. Fumie l'a vu, Sayuri brille plus que quiconque. C'était la fille parfaite pour le métier qu'elles ont toutes les deux choisi. Pourquoi ? Comment ? Ce n'était pourtant pas son rêve à elle, au début ! Pourquoi était-elle meilleure, elle n'avait pas le droit... Et l'adolescente a fini par nourrir une jalousie sans fin à l'encontre de sa sœur, ce sentiment provoquant de la haine que Fumie réussissait à cacher cependant. Quelque part, au fond d'elle, elle n'en pouvait plus, mais pour le bien de sa sœur et le sien, elle ne montrait pas sa rage. Ce n'était pas son style et surtout, c'était bien trop blessant. Et Fumie ne voulait faire du mal à personne. Au fond de son petit cœur de fille de 17 ans, elle cache beaucoup de sentiments négatifs ainsi que de mauvais souvenirs ou intentions. Elle ne veut pas haïr, elle ne veut pas être triste, elle ne veut pas s'en rappeler, elle ne veut pas blesser. C'est un dur défi pour la jeune, mais elle continue de se taire dans son coin, plus expressive que sa jumelle pourtant. En sa présence, sa colère, ses regrets, ses peines peuvent ressortir et se montrer. Fumie est une de ces personnes expressives envers un groupe peu large de proches. Elle ne veut pas être un fardeau pour sa sœur mais elle doit être rassurée, elle ne peut pas vraiment arrêter de pleurer dans ses bras, tel un bébé, lui racontant sa vie, ses problèmes, tout. Tout, sauf ce qui concerne Sayuri. Les deux vivent dans leur bulle, leur petit monde à elles où peu de personnes peuvent accéder. Leurs soucis, leurs rêves et elles, rien de plus – elles ne font que se protéger avant tout, rejetant tous les camarades qu'elles ont, tous les potentiels amis, tout le monde qui souhaite leur parler. Fumie n'a besoin que de Sayuri et Sayuri n'a besoin que de Fumie : cela semble être une règle qu'elles se sont imposées silencieusement. Elles n'échappent cependant pas aux plaisirs de la jeunesse, qui sont caractérisés, chez elles, par leurs farces – elles vont rarement vers les autres, les autres vont rarement vers elles, mais les jumelles apprécient, dans leur temps libre, tromper les autres, souvent en échangeant leurs tenues et agissant comme l'autre sœur. Mais qu'est-ce qui arrive une fois la famille séparée ? C'est comme si le monde changeait totalement : Fumie est une fille très sociable quand Sayuri ne se trouve pas à ses côtés. Elle est plus libre, plus bavarde, plus amicale. Serait-ce pour le bien de sa carrière, sa réputation, ou bien pour combler la solitude à l'instant précis ? Elle ne le sait pas, personne ne peut en être certain et les deux sont très probables. PHYSIQUE Une silhouette féminine dans les normes s'arrête. Elle se retourne brusquement, faisant voler ses blonds cheveux lisses, longs jusqu'aux fesses. On distingue une queue de cheval attachée avec un ruban rouge, ressemblant à des oreilles de lapin penchés sur un côté. Son visage donne une impression de joie et laisse penser que la fille est assez bavarde et pleine d'énergie, pourtant, elle se tait. Elle fixe quelque chose au loin, devant elle, de ses grand yeux vairons : son œil gauche est rose, partant sur le mauve et son œil droit est jaune. Sa peau est d'un teint clair, mais pas trop pâle, légèrement rosée sur les joues. Elle sourit constamment, mais pas trop fort, une expression classique chez les jeunes filles de son âge, si ce n'est que ce petit détail ; son sourire semble un peu plus sérieux que les autres. À la regarder, elle n'est pas très grande, ni très petite : aux alentours d'un mètre soixante avec un poids idéal pour sa taille et une poitrine existante, bien que pas spécialement imposante, tout comme le développement de ses muscles, ce qui paraît évident, la jeune faisant du sport quotidiennement et dansant énormément. Plutôt normal pour une idole, non ? Le soin qu'elle porte à son apparence est tout autant évident : cheveux bien coupés et coiffés qu'elle lave chaque soir, peau lisse, touche de maquillage sur le visage, ongles qu'elle ne ronge plus, avec du vernis dessus, silhouette fine, vêtements bien repassés et lavés, aux couleurs bien choisies, qu'elle porte comme si elle mesurait l'angle de chaque partie et l'emplacement de chaque pli, comme si elle faisait tout pour que ça soit parfait et paraisse tout autant naturel. Elle n'est pas très difficile au niveau des vêtements, si seulement elle trouve le bon magasin : elle a un style, son style, le favori, qu'elle adore. En effet, dès qu'elle le peut, elle a tendance à mettre des habits du type shiro lolita, qui est le style opposé mais ressemblant à celui de sa sœur, Sayuri, qui préfère les vêtements kuro lolita. Style que Fumie met parfois, d'ailleurs, rien que pour tromper ceux qui les connaissent, histoire de s'amuser un peu. DERRIÈRE L'ÉCRAN
| ► Pseudo : Mikaoriru, Cristal, Koe, ... ► Âge : 14 ans ► Comment as-tu connu le forum ? : Via une amie. Méchante, cette amie, elle veut que je m'étouffe sous une couche de RPs. ► Un avis ? Le thème est magnifique, vraiment ! ► Tes disponibilités : Vous posez des questions dures- régulièrement, je pense. Sauf exception. ► Code du Règlement : #U. ► Une Question ? Aimez-vous le chocolat ? Non, ne riez pas, c'est important. ; Je suis vraiment désolée pour le temps que rédiger ce début de fiche m'a pris, je n'ai pas vraiment de bonne excuse (si ce n'est que je passais mes examens, mais après...) et j'espère qu'on ne m'en voudra pas trop- |
Dernière édition par Hatoko Fumie le Ven 10 Juil - 21:48, édité 1 fois |
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Fiche : http://www.truewings-rpg.com/t639-hatoko-fumie-80
Avatar : Kirisaki Chitoge (Nisekoi)
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Date d'inscription : 16/05/2015
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