Une belle après-midi de février, les feuilles des arbres ne poussais pas encore, il ne faisait pas chaut mais le soleil brillait comme jamais. Les oiseau étaient eux déjà revenue, ils précédaient les fleurs. Je me baladais dans les rues piétonne du vieux quartier. Ce matin on était allé voir une expo avec une vieille amie. On avait toujours fait notre scolarité ensemble avant que l'on ne soit obligé de choisir une filière. Elle était partit dans l'informatique, moi dans le monde du spectacle. Elle habitait à l'opposé de Saotome on c'était donc quittée après avoir visité la galerie et discuté de longue minute. Je décidais de renter à pied. De toute façon je n'avais pas le choix. J'avais oublier mon titre de transport dans ma chambre. Il devait jouer le rôle du pot de fleur sur mon bureau... Je déambulais ainsi dans Tokyo. Une demi-heure de marche ne tue personne. Je n'avais même pas de talon. Une simple paire de bottines veloutées couleur ocre, un jean, une chemise blanche et une veste type tailleur cintrée, ouverte qui faisait en fait plus décontractée portée comme ça. Je marchais tranquillement en fredonnant doucement mon café à la main. BAM !Et voilà !! Encore à faner... et et zut y a du café par tout. Sur moi, sur lui. Et mince j'en est aussi foutue sur un inconnu. J'aurais pas pu simplement rencontrer un poteau ? Aie. Et ma cheville. Plus maladroite que moi je crois que tu meurs. On voit ça que dans les Shojo des filles aussi stupide ma parole ! Et ma nouvelle veste... huhu. Et ma chemise blanche... mon... Soutif cerise...gloups. J'essaye de refermer ma veste mais ça couvre pas. C'est pas fait pour, y a qu'un bouton. Argh rendez moi invisible.

Pardon ! Oh je suis vraiment désolée !

Bah ta l'air maligne ma grande là...

Argh la bourde...Je suis vraiment nulle. Le nouveau venu peste. Une nouvelle veste, et mince, j'ai bousiller sa nouvelle. Pas étonnant qu'il ne soit pas contant. Je suis vraiment hyper confuse. Et dans un salle état. J'enlève ma veste et la plaque contre ma poitrine pour camoufler la transparence imminente causée par le café. Peste ! j'en ai jusqu'à mes chaussures. Bottine = poubelle. Je soupire ne sachant pas trop comment réagir par rapport à se jeune homme en pétard. Mais il se calme étrangement vite. Et me parle même tout de suite d'un manière amical. Il sourit et rigole même. je ne sais même pas si je dois trouver ça rassurant ou totalement anormal. « C'est pas grave ... Je pourrais aller la changer ! Ça va, toi ? »Je ne sais pas s'il pourra le changer. Je ne suis pas sûr qu'ils cautionnent pour les cafés renversé. Mais ce n'est pas le moment de le dire. Puis il est hors de question que je le laisse payer pour mes bêtises. Si il doit s'en racheter un c'est de ma poche que sa sortira. Je relève la tête vers l'adolescent. Il n'est pas grand mais doit avoir à peut près mon âge, de beaux yeux bleu. Un visage calme et bienfaisant. C'est fou ça. Aussi serin. Je hoche doucement la tête avec un air un peu surpris.
« Oui ça va, c'est ma faute je suis vraiment désolée pour ça et la veste... J'espère que tu t'es pas brûlé et t'es pas presser parce que si tu me dis que t'as un entretiens d'embauche dans cinq minutes je vais me sentir encore plus mal. »
J'essaye de sourire aussi. Mais c'est timide, nerveux. J'ai les vêtement qui me colle à la peau c'est assez désagréable. Tsstssts, hors de question de se plaindre, c'est de ta faute Amako.