Sujet: Je sens des boums et des bang agiter mon coeur ♪ ◘ Gou Mer 28 Jan - 13:11 | |
| MIYAKOZUKA GOU ★ Moitié ange et moitié salaud, personne n'est tout moche ou tout beau... INFOS EN VRAC
Nom : Miyakozuka
Prénom : Gou (Koo :江)
Âge : 17 ans
Sexe : ♀
► Groupe & Rang : Etudiant - Classe S ► Instrument(s) pratiqué(s) : En dehors de sa voix, Gou jouissais d'une renommée de Contrebassiste avant d'intégrer l'école. Elle se débrouille en alto, Koto et a des bases en Biwa. ► Métier : Elle avait débuté son cursus scolaire en composition mais s'est réorientée pour un Cursus Idole. Elle ne travaille pas en dehors des cours. ► Ambition : En vérité elle ne le sais pas vraiment. Elle avait pour Ambition de se démarquer de ses parents eux même très présent sur la scène musicale, mais cherche encore sa voix
Avatar : OC par Eiri
Voix : Satoko Kawasaki (me-al art) ici | |
STORY ▬ Allegretto ▬ « – Ne poussez pas, nom d'un chien! » La supplique du pauvre photographe écrasé contre les barrière de sécurité ne fut pas entendue, cependant il eu l'occasion de prendre le cliché tant espéré du jeune vainqueur de cette édition du Concours International de violon Fritz-Kreister, ici à Vienne. La petite était arrivée avec son Alto plutôt que le violon traditionnel et tout le monde se plaisait à dire qu'elle avait apporté sa pierre à l'édifice en subjuguant le jury. Miyakozuka Gou n'avait que sept ans et demi et avait à peine l'age requis pour participer à cette compétition réservée aux violonistes de moins de trente ans. Pas que sa participation soit à ce point incroyable. Cette gamine avait ses entrées dans le monde de la musique classique. Que sa soit par sa mère Miyakozuka Juri, une Soprano Colorature qui avait eu sa place sur les planchers des Opéras les plus connus du monde ou encore son Père Kou'ichi, qui non contemps d'avoir été un grand compositeur et un chef d'orchestre de portée mondiale avait fini par devenir Directeur Artisique de l'Opéra de Tokyo. L'homme avait été sacré « trésors National » par l'Empereur lui même et le premier ministre japonais l'avait lui-même décoré après qu'il ai décroché pour la 6 eme année consécutive Le Prix de Rome en Composition musicale.La petite était donc immanquablement prédestinée à tenter quelque chose dans le milieux. Le couple l'avait toujours poussée dans ce sens, mais jamais personne n'avait pensé que ça arriverai aussi vite. Et honnêtement les parents semblaient tout aussi choqué que les médiats, les jury ou même les autres concurrents. Il faisait déjà très froid pour ce 26 septembre Autrichien et la petite avait enfilé un le pull de son père par dessus sa robe. Elle disparaissait presque entièrement sous ce dernier. Mais c'était comme ça qu'il était plaisant de la voir, accrochée à la main de son père comme si sa vie en dépendant pendant que celui-ci , alto sous le bras échangeait quelques mots, choqués avec son épouse. « – J'ai ...j'ai pas fais exprès. Maman ? Papa ? Vous êtes fâchés ? Je suis désolée, je le ferai plus alors ... » Quatre yeux qui se tournent, prenant brusquement conscience de la présence de l'enfant, et un sourire rassurant sur les lèvres de la mère. Elle s’accroupit pour regarder sa progéniture. « – Personne n'est fâchée Gou. Papa et Maman sont très fiers et heureux, mais ils sont très surpris. Gou à vraiment bien joué aujourd'hui, n'est-ce pas? » La petite opine du bonnet. Comme si elle pouvais faire autrement. Brave petite. Mais c'est vrai que les parents sont fiers, inquiets aussi. Parce qu'on ne peu pas ignorer un talent comme ça, mais que l'enfant est trop jeune pour qu'on l'exploite. Et puis il faut penser à ce quelle veux aussi à son avenir, mais posséder les moyens et ne pas les utiliser c'est un crime. Alors on se questionne, on se fait du soucis parce que tout va vite, très vite, trop vite. La gosse va encore à l'école et elle ne peut pas arrêter , elle consacre déjà beaucoup de sa vie à la musique , faire plus serai injuste. Aime t-elle la musique parce que les parents la conditionne à ce sujet ou est-elle réellement intéressée d'elle-même ? Il y à trop de questions sans réponses. Mais ça grouille ça presse et la presse d'ailleurs veux avoir le premier, le dernier mot. Quelque chose s’essouffle déjà. C'est peut-être trop brutal comme entrée dans le monde. Trop pour quelqu'un qui n'est pas près. Pour quelqu'un qui à pour unique préoccupation son contrôle de géométrie de vendredi prochain. D'autant plus difficile que l'enfant à toujours vécue protégée de cette réalité. Qu'elle n'as jamais été exposée au succès de ses parents, ou alors toujours comme si c'était un jeu, des vacances un peu trop longues. Mais pas quelque chose de sérieux, jamais rien de vraiment sérieux , seulement le temps des jeux semblait finir plus tôt que prévu. Trop tôt sans doutes pour quelqu'un d'aussi jeune et le monde était sans doutes trop cruel pour quelqu'un comme elle ; il faudrait qu'elle fasse ses armes plus vites que tout les autres. Parce qu'à sept ans on est encore un bébé. On est un bébé et Miyakozuka Gou l'était plus que personne. Parce que Gou était une enfant rêveuse, parce qu'elle était dans son petit monde de prodige. Mais personne ne pouvais savoir que en réalité ce monde lui correspondait mieux que n'importe quoi d'autre. Parce qu'elle avait ça dans le sang, la gosse. Mais pour l'instant la neige tombais sur Vienne et on acclamait la benjamine et lauréate du prix Fritz-Keister de cette année 2006. quelque chose qu'on oublierai pas de si tôt. ▬ Adagio ▬ Miyakozuka Gou ne jeta pas un regard à son père alors que celui ci s'évertuait pour la énième fois d'harmoniser l'ensemble de l'orchestre junior de l'Opéra de Tokyo. Après tout elle n'avait pas que ça à faire. Elle avait sans doutes des attitudes de diva à ce sujet, mais elle avait pour elle un talent reconnu pour la musique et bien qu'elle aie laissé de côté son alto et lui avait préféré une contrebasse elle n'avait pas mit longtemps à rattraper le niveau qu'elle avait pu acquérir au violon. Parce qu'elle était née pour ça, elle l'avait dans les tripes. Et c'était un don parfois, une malédiction le reste du temps. Une malédiction parce que d'une certaine façon ça l'avait écartée des autres enfants et des préoccupations des petites fille de son âge. Parce que à onze ans elle aurait sans doutes du, plutôt jouer aux poupées avec ses camarades de classe ou bien participer à un club scolaire. Mais Gou était là, dans l'orchestre national et en plus, elle s'y ennuyait. C'était un comble quand même. Surtout quand on pensait à tout le travail fourni en amont , puis en aval par tout les autres étudiants du conservatoire. Gou poussa un de ces soupires à la foi navré et coléreux dont elle avait le secret – car tout était dans le dosage de ces deux émotions qui n'avaient rien en commun – et descendit de son tabouret. Son archet faisait des tours entre ses doigts, contre son poignet alors qu'elle calait l'instrument de manière à ce qu'il ne s'abîme pas. Son acte troubla le calme olympien des autres membres de l'orchestre, mais honnêtement ce n'était pas comme si elle s'en souciait vraiment. Elle se moquait de pas mal de chose,il fallait dire aussi. « – Gou? » La gosse haussa les épaules. Comme si elle hésitait encore à répondre ou pas à la question. Cela dit c'était quand même une gamine bien éduquée, c'était donc plus ou moins une obligation fondamentale pour elle que de répondre aux interrogations parentales ou toute demande qui provenait d'un adulte. « – Je rentre à la maison. J'ai un contrôle demain. Et de toutes façon ça n'avance pas. » C'était vrai mais c'était cru. Et il existait sans doutes d'autres façons de le faire remarquer. Mais Gou se moquait éperdument du fait qu'elle pouvait blesser les autres. Sans doutes parce qu'ils ne s'étaient jamais gênés pour la blesser elle même. Obtenir un prestigieux prix à l'age de Sept ans n'étais certainement pas quelque chose de constructif dans une vie d'enfant. Parce qu'on l'avait accusée d'avoir acheté sa place, parce qu'elle avait été regardée différemment à l'école. Elle avait été brimée et les médias s'étaient acharnés et elle avait d'abord pris peur. Et puis elle avait appris à être aussi dure et cruelle que ceux qui l'entouraient. Et elle était douée pour ça aussi. Plus que les autres, plus que ces enfants qui se retrouvaient complètement brisé par la pression. Elle s'était relevée avait rué dans les brancards et n'hésitait plus a appliqué cette étrange agressivité dans sa vie de tout les jours. Et c'était bien. C'était bien parce qu'elle était parfaitement en paix avec ce fait. Parce qu'elle se moquait des dommages collatéraux et de toutes ces foutaises, elle était bien trop jeune pour s'en soucier et elle était comme l'étaient souvent les enfant. Un peu absurde et cruelle. Mais attachante. Vraiment attachante. « – Sois prudente en rentrant. Dis à maman que je serai la pour le dîner. » « – Oui. » Et puis le vent emporte tout. ▬ Presto ▬ « […] Et de toutes les façons pour tout ceux qui avaient douté de sa capacité à remporter le Concours des jeunes Contrebassistes de Prague, cette année, il était temps de rafraîchir les mémoires en rappelant à tout un chacun – les néophytes comme les aguerris – que Miyakozuka Gou avait déjà remporté de nombreux prix en dépit de ses quatorze petites années. Sans parler du fait qu'elle arrachât le premier prix à Vienne en 2006 alors qu'elle était âgée de seulement sept ans, la demoiselle s'était illustrée à l'age de dix ans à Kromber im Taunus, en Allemagne quelques jours après le festival Pablo Casals au cours d'un concours international pour contrebassiste de moins de trente ans. Elle avait alors été opposée à Angélica Cheer une Américaine de vingt-trois ans qui avait déjà fait ses preuves dans la discipline.
Sans parler des trois ou quatre autres concours regroupant les têtes de files du monde entier au cours desquels la jeune japonaise s'était toujours classée dans les premiers, elle à finalement décroché une place permanente dans l'orchestre National de Tokyo délaissant les bancs de l'orchestre junior qui n'était clairement plus fait pour elle. Pas à la hauteur de ses capacités. Il serait presque insultant pour tout dire de parler des origines d'un tel talent quand on sais que sa Mère Miyakozuka Juri faisait encore fureur hier soir à Sidney dans le rôle de Lakmé.
Ce n'était donc pas une réelle surprise que de voir la jeune fille participer au Prix Bach de la Royal academy of music de Londres. Armée de sa contrebasse. Ce qui fut une surprise cela dit fut encore de la voir remporter la victoire de façon si aisée. Si elle avait toujours été bien classée cela faisait longtemps qu'elle ne s'était pas tant illustrée pour son talent. Comme si une certaine lassitude s'était installée en elle. Il faut croire que la perspective de se retrouver face aux musiciens les plus respectés de notre ère à changé la donne. Elle semble avoir laisser sortir au grand jour pour la première fois depuis des années la petite fille qui avait écrasé le juré du Pris Fritz-Kreister.
Elle s'apprête pourtant à changer d'école dans le courant du mois à venir sa notoriété grandissante semble devenir un soucis auprès de ses camarades. Elle sera donc orienter vers une école privée qui à une passerelle avec le conservatoire de Tokyo dont elle dépend déjà beaucoup. Elle à elle-même refusé de s'exprimer à propos de sa performance qui à pourtant été époustouflante, et des raisons qui l'on poussée à se brimer plus récemment. Elle à affirmer que les 10 000 livres sterling qui accompagnaient la remise du prix seraient investi dans une association qui apprend la musique aux enfants des quartiers les plus pauvres de Tokyo.
Miyakozuka Gou est déjà une professionnelle dans le domaine de la musique et elle possède la carrure des plus grand. Elle manie son archet avec faste et sais déjà très bien se défendre face à la presse.
Elle n'as rien à envier à personne. » ▬ A.J Cook pour un journal de Musique.▬ Vivace ▬ Laisser entrer Gou à Saotome avait été un grand choc pour le couple Miyakozuka. Plus encore quand elle avait été admise dans la classe S , pour avoir fait partie des meilleurs élèves au concours d'entrée. Mais c'était surtout de la voir abandonner la musique classique qui les perturbaient. Et encore. « – Et donc finalement tu abandonnes la classe de composition? » C'était la dernière question sur les lèvres à Saotome. Pas que la jeune fille se complaisait particulièrement à laisser ses camarades dans l'ignorance mais elle jugeait que ce n'était pas leurs affaires. Elle avait participer au prix de Rome comme son père avant elle et n'était pas sortie lauréate. Ça n'avait rien de bien étonnant et c'était déjà incroyable que sa composition aie été sélectionnée par le jury. Mais ça ne pouvait pas convenir à Gou. Peu importait la façon dont on le regardait. Comme si elle pouvait percer dans un domaine totalement écrasé par les succès de ses parents ? C'était quelque chose qu'elle avait finalement touché du doigt. Entrer dans le cursus Idole avait été un véritable défit pour elle mais elle ne s'était pas démontée. Et qu'ils aillent tous se faire voir s'ils n'étaient pas en accord avec ça. Parce qu'elle se moquait éperdument de l'avis des autres. Que ça fasse scandale s'ils le voulaient ça ne la regardait déjà plus. Elle avait seulement appris qu'elle devait voler dans un ciel plus grand, aller quelque part ou elle pouvait encore apprendre des choses. Quelque part ou tout était neuf et ou elle était à égalité avec les autres, la rage de vaincre en plus. Parce que c'était ça, un besoin viscéral de reconnaissance. A sept ans Miyakozuka Gou voulait être Violoniste, à dix ans elle voulait être Contrebassiste, à douze ans elle voulait être vétérinaire et à dix-sept ans bientôt Miyakozuka Gou voulait être Miyakozuka Gou. Peu importait les sacrifices qu'elle devrait faire pour ce que ça prenne du sens, et elle se fichait de devoir briser des cœur – son cœur – des vies – sa vie – et de devoir piétiner les autres jusqu'à se fouler elle-même au pied. Elle était prête à tout pour obtenir sa place, son titre et la preuve qu'elle valait plus que les talents que la naissance lui avait donné. Être plus. Parce qu'elle était lasse de vivre. Elle voulait Exister. exister vraiment, remonter le courant, briser les roches qui contenaient la rivière et puis … Elle aurait voulu partir avec le vent quelque part ou le regard ne porte pas. PSYCHOLOGIE « – Je t'aimerai, » Lui dit-elle « Quand les nigauds seront pourvus d'ailes et que tu sauras voler » Plus que ce sourire pseudo-innocent que l' autre savait profondément narquois et désintéressé, il y avait toujours eût quelque chose de volontairement méchant dans la franchise incisive de Gou. Elle n'était pourtant – de manière plus générale – pas une personne purement et bêtement méchante, mais ça aurait été un mensonge de dire qu'elle était un ange. C'était même tout le contraire. C'était dans ces moment là qu'il pensais que la nature était bien faite. Parce qu'il avait du choisir un seul adjectif pour définir Miyakozuka Gou alors ça aurait été : [/i] Gris Et c'était quelque chose qui pouvait décrire tout aussi bien son aspect physique que son comportement, son caractère tout en nuances. Gou ne manquait pas de tact, elle avait été très bien élevée et si elle avait parfois cette honnêteté des gens instruits, elle savait se tenir et usait des mots mieux que personne.Mais Gou utilisait cette franchise et les mots pour déstabiliser et blesser volontairement les autres. Pas toujours pour des motifs définis. Parce qu'elle pensait généralement qu'elle pouvait faire les choses pour la simple et bonne raison qu'elle le désirait. Tant qu'elle ne mentait pas à ce sujet, que ce soit à elle même ou aux autres, alors il n'y avait pas de problèmes. Et elle n'avait pas non plus de problème avec les gens qui fonctionnaient de la même façon. Elle savait que l'hypocrisie faisait tourner le monde, que ce soit celui dans lequel elle vivait ou celui de tout les autres et elle était foncièrement familière avec cette dernière. Maîtresse en manipulation , elle savait comment flatter les gens et trouver les points les plus sensible pour les utiliser à son avantage. Elle usait des principe moraux des autres contre eux et finissait toujours par vous faire faire des choses que vous n'auriez jamais fait de votre libre arbitre sans que vous ne vous doutiez qu'elle vous avait influencer. Se moquant des règles car ne les voyants pas s'appliquer à sa propre personne elle connaissait les règles sur le bout des doigts et savait jouer de leurs limites.
Gou ne se dirigeait jamais délibérément vers les gens si elle n'avait pas de profit à en tirer, elle avait de vrais amis il était naturel, mais ce n'était quand même pas sa plus grande tendance. C'était une personne intéressée qui savait ou se trouvait sa place et comment la garder. Et vous pouviez être sur qu'elle ne vous viendrai jamais en aide gratuitement. C'était pourtant une amie fidèle et dévouée, une personne digne de confiance pour peu qu'elle vous ai laissé approcher suffisamment pour vous en rendre compte. C'était une personne appréciée de ses camarades sans doutes parce qu'elle savait donner le change, elle était bonne actrice en plus d'être une bonne élève et il fallait avoir envie de remarquer que ses gestes et ses paroles ne correspondaient pas pour s'en rendre compte. Parce qu'elle était un peu comme ça , l'amie à tout le monde Gou. Ce n'était pas une mauvaise personne et pour autant que ce se sache elle avait toujours pris la défense des plus faible, parce qu'elle avait un grand sens de la justice et des responsabilités. Gou pouvait être d'une déconcertante douceur et c'était douloureux de voir qu'elle réservait cette tendresse débordante à des gens et des choses de manière totalement aléatoire. Parce que Gou pensait qu'on aime parce qu'on aime et qu'on aime pas justement pour les mêmes raisons. Pas de justification et qu'elle n'avait pas la décence de le cacher. Gou était capricieuse, bornée et parfois franchement agaçante. Mais elle était aussi rêveuse et amoureuse de la vie, de la musique et aussi étrange que cela puisse paraître aux vues du peu de respect qu'elle leur accordait : elle aimait les gens.
C'était peut-être le propre des génies dans son genre. Ils étaient clairement imbuvables pour ceux qui n'avaient pas appris à les connaître. Ceux qui n'avaient pas eu la patience de s'approcher peu à peu, parce que Gou était comme un animal sauvage, farouche, territoriale et clairement agressive. Elle était comme un bonbon doux qui dégage tout à coup une saveur acide. De surprise en surprise, mais elle avait le cœur sur la main et pas la langue dans sa poche et autant de larmes que de rire. Un mental d'acier et une volonté de feu, elle savait mieux que personne fédérer les autres et puis sa bouille d'ange suffisait souvent à faire passer son caractère de cochon que de reste elle savait cacher comme personne. Elle n'était pas toujours cohérente mais elle n'était pas non plus exécrable et malgré tout elle ne demandait rien d'autre que de pouvoir aimer sans compter.
Et elle aurait pu crever pour un Aria , un concerto ou le son d'un archet qui caresse les cordes d'une contrebasse.PHYSIQUE « – Pour commencer, c'est pas gris mais blond cendré ! » « – Honnêtement , 'vois pas la différence. » Gou à frappé du pied et Mabuchi s'est contenté de l'ignorer. Comme à chaque fois qu'elle tapait du pied. Généralement c'était pourtant un comportement couronné de succès chez elle, mais Mabuchi n'étais pas – n'étais plus – dupe. Et de toutes les manières, les cendres étaient bien grises, jusqu'à preuve du contraire. En tout objectivité, Miyakozuka Gou était une belle jeune femme. Elle n'était peut-être pas le genre de beauté qui font la une des magasines et elle n'était pas fichue comme ces européennes scandaleuses qu'on affichais sur les panneaux lumineux de la ville, mais elle était belle. Vraiment belle. C'était peut-être la finesse de ses traits, elle quittais définitivement l'enfance depuis peu et , quelque part il y avait dans la singulière symétrie de ses traits quelque chose d'une poupée. Une de ces poupées de porcelaine françaises donc les visages parfaits faisaient pâlir de jalousie de nombreuses femmes. Ses yeux étaient un peu moins bridés que la moyenne, héritage de sa grand-mère Française. D'un bleus-gris épuré. Comme des nuages. C'était à peu près ça. On avait l'impression de flotter dans son regard, à la surface de son âme et de son cœur sans jamais vraiment pouvoir l'observer. Un regard tellement clair qu'il aurait du paraître froid, inexpressif mais qui était traversé de tellement d'émotions qu'ils étaient vivants chaleureux et remplis d'un millier de rires et d'histoires. Y'avais ses longs cils, épais, la courbe gracile de son cou ou encore son nez droit, légèrement en trompette, la façon dont ses larges boucles cendrées cascadaient dans sa nuque, son dos, s’emmêlaient dans ses vêtements. Ils étaient fins, long, sans doutes trop généralement lumineux mais leur couleur terne donnait quelque chose d'intemporel à la demoiselle. Gou avait cette petite moue, cette mimique capricieuse qui lui ouvrait toutes les portes. Parce qu'elle avait ce quelque chose de percutant, cette capacité de s'engouffrer en vous à son avantage et elle savait en jouer. Ses lèvres roses, son teint trop clair, la ligne de son cou qui se perdait entre ses petites épaules. Elle était pas bien large, pas très épaisse et Mabuchi avait entendu dire de sa sœur avec qui Gou s'entendait bien que l'on pouvait même voir ses côtes quand elle se déshabillait, y'avait des cicatrices rosatres sur ses genoux, sur ses avants bras et un peu partout. Elle n'avait pas un très grand sens de l'équilibre. C'était sur qu'elle n'avait pas les atours de ses camarade de classes. Peu de poitrine et elle n'avait des hanches particulièrement marquées, mais c'était cela qui affirmait encore chez les observateur cette sensation de n'être que face à une poupée parfaitement animée. Et c'était parfois clairement dérangeant. Gou n'était pas très grande ce qui n'était généralement pas un tors mais sa taille la rendais encore plus dérangeante. Comme un jouet grandeur nature mais pas tout à fait. Elle devait mesurer à peine plus d'un mètre cinquante-cinq, peser une quarantaine de kilos ? Ses petites mains aux doigts fins, calleux d'avoirs fait vibrer trop de cordes, des pieds minuscules. Elle n'était pas d'une grâce fabuleuse mais il y avait quelque chose de sincèrement touchant dans sa maladresse. Les lunettes dix fois trop grosses pour elle qu'elle portait quand sa tête lui faisait trop mal pour qu'elle proteste. Elles lui bouffaient la moitié du visage mais ce n'était pas ça qui la rendait perturbante. Non pas vraiment et Mabuchi ne savait pas bien expliquer. Alors il à glissé une nouvelle fois ses yeux sur elle. Il n'avait même pas remarqué qu'elle s'était assise. Mais c'était peut-être ça le pire dans l'histoire. Le vent avait emmêlés ses cheveux et les avait éparpillés sur son visage clair. Avachie dans l'angle du mur, les bras ballant, un négligemment reposé contre sa cuisse, l'autre pendant sur le sol, les jambes droites devant elle, légèrement écartées, le regard perdu dans le vide. Elle n'avait pas fait le moindre geste pour dégager sa figure et si ce n'était pas pour sa respiration lente et profonde, il n'y avait rien au monde qui ressemblait plus à une poupée de porcelaine que Miyakozuka Gou et ça n'empêchait pas Mabuchi de la trouver superbe. DERRIÈRE L'ÉCRAN
| ► Pseudo : Princesse Frédégonde ► Âge : 19 ans 8 mois et 4 jours (très précisément) ► Comment as-tu connu le forum ? : Par Marco, le frère du cousin de l'amie de tata Yvette ► Et sinon, tu en penses quoi ? Pour l"heure que du bien. ► Tes disponibilités : variable mais je passe généralement tous jours. ► Code du Règlement : *__* ► Une Question/Remarque ? Pomme dauphine (o/
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Dernière édition par Miyakozuka Gou le Sam 31 Jan - 23:17, édité 14 fois |
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Sujet: Re: Je sens des boums et des bang agiter mon coeur ♪ ◘ Gou Sam 31 Jan - 20:55 | |
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| Okumura Rin « Administratrice Maemi ♛ Things never happen the same way Twice. »
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Sujet: Re: Je sens des boums et des bang agiter mon coeur ♪ ◘ Gou Sam 31 Jan - 23:29 | |
| Je te valiiiide Sergent ! 8D Je te souhaite de te plaire ici et bon jeu à toi. :<3: N'oublie pas de visiter les liens que je te colle-ci après ! :3 Liens Utiles ► La validation de ta présentation te donne droit à deux points bonus pour ta popularité. Pour les obtenir, viens les réclamer dans le Sujet de réclamation de Points► Il est également nécessaire de faire recenser l'avatar que tu as choisi afin qu'il ne soit pas utilisé par un autre membre. Rendez-vous dans le Bottin des avatars |
| Terashima Kaori « Fondatrice Kusmi ♛ « Pink is the manliest color » - Professionnel »
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