Sujet: Where butterflies...Onhya Elyo Dim 17 Mai - 14:06 | |
| Ohnya & Elyo★ LE CIEL NOCTURNE EST REMPLI DE PLEURES, SOUS UN CŒUR FERMER ET HURLEUR INFOS EN VRAC
Nom : Onhya
Prénom : Elyo
Âge : 17 ans
Sexe : Masculin
► Groupe & Rang : Membre du cours master, compositeur. ► Instrument(s) pratiqué(s) : Piano, guitare principalement, mais joue aussi du violon qu'il montre largement moins. ► Métier : Travail à temps partiel dans une librairie. ► Ambition : En trouver une à lui, pour lui.
Avatar : OREKI HOUTAROU - HYOUKA
Voix : // | |
STORY Au fil des jours, les nuits s'enflamment…
Peu importe le nombre de fois où il le fera, il s’en souviendra. Peu importe le nombre de vie qu’il pourrait vivre, il n’oubliera jamais. Ce sont des souvenirs qui le brûlent, qui dansent comme autant de serpents dans leurs âtres. Des fragments qui s’échappent, qui lèchent le haut de sa conscience. Cela aura beau flotter dans les cieux comme un oiseau, il le sent. Cela grignote la peau, la chair de l’intérieur, lentement. Il voit des fils l’entourant comme un étau, ne laissant aucun passage et ne cessant de croître et de prendre de la place.
Un gramme de plus. Un gramme en plus. Rien ne semble changer, en apparence. Les douleurs se font plus nombreuses et les sourcils se froncent, l’inquiétude se lit, dans ses yeux. Ce petit corps reste pris dans la douleur. Il la voit voguer selon le degré de l’intensité. Cela ne se guérit pas. Il a beau lui serrer la main, rien ne s’efface. Il lui semble que les maux disparaissent pour apparaître ailleurs, sur lui, en lui. Il a froid, il tremble quand il dort. Il se disait que tout s’évapore, mais il a eu affreusement tort. La vie baignant sur son corps, il en rêve encore. Les douleurs, les suppliques dégringolant, il veut en finir en les abattant.
C’est inutile.
Une nuance de gris où les couleurs disparaissent malgré le soleil, la lumière et le monde qui tourne autour de lui, qui fait alors revivre un sentiment des plus horribles terrés au fond de lui, dévorant son intérieur avec tant de minutie, tant d’applications que cela en est effrayant. Les doutes reviennent au galop, les remords et la douleur s’intensifie au fil des heures, d’une horloge qui ne s’arrête pas, dans les bras d’une grande sœur larmoyante.Il a beau essayer de déambulait au gré du vent, qui le pousse dans telle direction, comme une feuille emportée par les courants d'air, son esprit n'en reste pas moins fragilisé.
Alors, il essaie de tracer son chemin d'un ton hasardeux, les mains glissés dans les poches de sa veste et la tignasse flottant sur ce que le monde offre à ses yeux éplorés. Mais il en revient d'instinct vers cette immensité qui s'étale devant sa tête. Immensité, dont il apprit les moindres nuances de blancheur, le relief fouillis des sonorités qui y naviguent avec lenteur. Il le sait, c’est inévitable, cela attend patiemment dans l’ombre que ce soit le bon moment, et revient en frappant plus fort encore, dans l’espoir de voir la chute.
C’est finit.
Et le jour se lève, encore. Le bois crépite, résonne d’étranges litanies, un susurrement qui rend fou, la voix que l’on croit entendre, mais qui couvre pourtant tous les bruits. La voix d’un souvenir pas si lointain, une voix qui fait tressaillir tout son être, alors qu’elle n’existe pas. Lancinante plaie qui se trouve au cœur de leur chair. La brique cuivrée de son cerveau s’en trouve meurtrie. Comme des fils d’arachnides, cela se tisse autour de lui en un silence imposant. Il aimerait pourtant entendre du bruit. La tête repose au creux d’une aînée qu’il chérit, loin des pleurs flageolants en perpétuel accord avec l’ombre, ulcérant les espoirs, s’insinuant en son sein pour se répandre lentement, comme une marée invisible. L’écume d’eau qui coule jusqu'au fauteuil, se noyant au cœur meurtri sur ce sol de planche verni.
Comme un tombeau.
Que le vent qui l’enveloppe doucement transforme les fantaisies chimériques, de ses perles salées sur ses paupières closent, fragment de raison en permanence dévorés. Peu importe le nombre de fois où on lui a dit de ne pas partir, il se bat continuellement pour un dernier soupir. Les promesses qu’ils se sont faits n’étaient sans doute pas aperçues, les secrets qu’ils ont alors vendus n’ont jamais été sus. PSYCHOLOGIE Elyo, il a la saveur d’un éclat dépeint. C’est corrosif, cela s’insère sur la bordure de la peau, qui vient grignoter et dévorer tout entier. Quoi qu’il fasse, on le remarque, ce quelque chose dans ses yeux et à ses lèvres, ce quelque chose que personne n’arrive à voir. Un sentiment fermé dressé sur son visage, à l’encontre de son faciès perpétuellement lassé, visible à même la peau. C’est quelque chose d’inscrit sur ses traits sans expressions, quelque chose de profondément inscrit sur sa vie. C’est comme un verre brisé sur un parterre de fleur, elle est là, palpable. On ne sait pas quand elle est arrivée, mais elle s’est entendue et elle se sent aujourd’hui.
Elyo, c’est comme un papillon emprisonné sous une toile. Il flottait sous un ciel peint, et maintenant, il possède cette tâche translucide, peinte à ses pupilles, qui glisse sur son visage et serpente la courbure de ses lèvres, finissant sa course en salissant sa chemise. Et sa voix ne résonne plus, et ses membres ne bougent plus. A l’intérieur, cela s’entrechoquent, et comme au fer rouge, cela hurle. Mais personne ne le voit. Quand on regarde Elyo, elle ne se voit pas. On ne voit que cet esprit tranquillisé, qui pour les autres composera. Mais quand le silence retombe, la réalité se corrompt.
Elyo, ce sont des paroles glacées, mouvante, absente. Elle trace derrière chaque syllabe un sillage à la fois si forte et si faible, et tout ce que l’on trouve quand ses lèvres se referment, c’est un silence qui pose des questions. Elles se sentent si fort, mais le voile des sentiments est absent. Elle oscille parfois, un maigre sourire qui peint le visage, sans doute depuis cela qui l’a rendu plus franc et égoïste à la fois. Vis-à-vis des mots, des sonorités, de tout. On voit que les sentiments ne sont pas décantés. Que l’équilibre présent vacille, prêt à se rompre pour mieux chuter encore. Que d’émotions crues, entre un corps déjanté et plein de désirs. Son tempérament s’écoule dans la nuit, écrivant des doigts inspirés, cherchant jusqu’à trouver. Elle râpe en s’effeuillant dans un sommeil léger.
Les frissons qui se ressemblent tous, les sentiments qui sont faits de la même chose. Elyo, peut-être se répète t-il que son ambition est anéantit, drainer par l’envie d’une autre. Elyo, il s’est perdu depuis un petit moment, mais il se convainc du contraire. Tenus par ces fils, se brisant, il s’écrase lamentablement en contrebas. Parfois félin, son grondement rageur bourré de vilenie souffle comme le plus virulent des acides. Elyo, c’est un papillon tenu de compassion, parfois, de sentiment, rarement, un vide, souvent. PHYSIQUE Il n’y a pas de compassion, pas de mépris dans ses yeux. Pas de sentiment puissant pour tout son être entier, pourtant, une étincelle ésotérique déforme ses prunelles émeraude. Elyo, il n’y projette sa nature profonde que dans le miroir de son propre regard, cette nature profonde qu’il s’est imposé. Eparpillant ses sentiments teintés de lassitude désespéré qu’il s’y reconnaisse le plus. Comme une perle, silhouette qui tantôt plaît et tantôt ne plait pas, sous une couche somptueuse de nacre qui cache une affreuse fêlure. Un corps sans être trop grand, mais plus que la normal, sans que ses rotules ne se craquellent.
Il y a un grand écart entre ce qu’il est et ce dont il pourrait être. Elyo s’adapte rapidement à son environnement, pourtant, elle menace de se fendiller par les autres sous sa tenue négligée. Souvent perdues entre le labyrinthe de cheveux bruns en bataille, qu’on invite à recoiffer à chaque retrouvaille. Il se ment à lui-même, il se veut aimable, selon qu’il veut qu’il soit. Il fera tout pour la réussite de l’autre, sans faille. Il insère à chaque fois une pièce pour jouer. Désintéressé par ce qu’il pourrait montrer, ses vêtements restent dans les mêmes tons.
Avec son allure nonchalante, ses pupilles émeraude qu'on aimerait vifs, et qui sont portant morne. Que l'on soit l'adjuration du mal ou se proclamant être du bien, Elyo n'en porte qu'une attention minime. On aura beau faire des efforts, les traits de ce garçon ne se plissent pas d'admiration, ni de haine quand l'écho d'un compliments, d'une action, d'une critique s'ébruite jusqu'en lui. Même ses sourcils ne se lèvent de curiosité pour les derniers instants d'une discussion animée qui s'éteint. Par delà une beauté banale, on trouve cette silhouette qui déambule, souvent en veste. DERRIÈRE L'ÉCRAN
| ► Pseudo : Pendulum ► Âge : 19 ans ► Comment as-tu connu le forum ? : ► Un avis ? Mon dieu que c'est génial ? ► Tes disponibilités : Dès que je peux. ► Code du Règlement : DAREDAREDARE ► Une Question/Remarque ? Est-ce que je peux avoir ce personnage au lieu de celui que j'avais fais précédemment (Levi) ? Je suis sûr de plus jouer avec lui qu'avec Levi.
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Dernière édition par Onhya Elyo le Dim 17 Mai - 21:51, édité 1 fois |
| Onhya Elyo « Membre du cour master »
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Date d'inscription : 17/05/2015
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Sujet: Re: Where butterflies...Onhya Elyo Dim 17 Mai - 15:16 | |
| Reeeeee Bien sûr, c'est possible de remplacer Levi ! :) En plus ton vava est trop sexy. Du coup, je te valide de suite puisque tout est bon. Je supprime l'autre compte ? Et réserve moi un RP, C'EST CLAIR ? N'oublie pas d'aller faire recenser ton avatar et de réclamer tes points, et également de préciser qu'il faut retirer Levi du bottin. Pense aussi à installer ton avatar ! |
| Terashima Kaori « Fondatrice Kusmi ♛ « Pink is the manliest color » - Professionnel »
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