Sujet: Yatogami Levi Mer 11 Mar - 16:01 | |
| Yatogami Levi A CHOICE WITH NO REGRETS INFOS EN VRAC
Nom : Yatogami
Prénom : Levi
Âge : 28 ans
Sexe : Masculin
► Groupe & Rang : Personnel ► Instrument(s) pratiqué(s) : ► Métier : Surveillant ► Ambition : Écrire ici
Avatar : Levi
Voix : | |
STORY Le sang est quelque chose d’étrange. Écarlate, liquide et si poisseux. Son goût amer et métallique emplissant même l’air le plus pur. Il est fascinant, surtout lorsqu’on le prend sous un autre angle. Que l’on découvre ce qu’il peut partager. Maladie et infections. Ainsi, que dans son sens le plus large, il est capable de partager des caractéristiques typiques de beaucoup de chose. Lui, il l’a beaucoup vu, ce sang. Angoisse et animosité qui le rendrait presque paranoïaque. Prunelles grisâtres scrutant les moindres coins où l’obscurité était reine. Ses pas acheminaient sur le tapis d’éclats carmins, qui virevoltaient chaotiquement dans le vent, jaillissant comme du coton froissé et turent dans l’abîme qui s’étalait à l’horizon. Et lui, le crâne enfermé dans un étau, tragédie personne d’un tourbillon d’effluves plus nauséabondes les unes que les autres, il était en proie à un sentiment d’incompréhension. Il baisse le regard caché par ses cheveux aussi noirs que les plumes d'un corbeau, des perles salées glissant de ses paupières pour lécher l’angle de sa mâchoire, avant d’affronter une nouvelle vertigineuse le long d’un sillon formé par le baiser volatile de ses épaules qui s'affaissent lentement. Des échos résonnèrent à intervalle régulier, formant une plate mélodie dont l’origine gagnait les profondeurs de son thorax. Il pouvait sentir sa peau vibrer à chaque battement, comme si son existence même pulsait à travers chaque parcelle de son corps. Malgré la chaleur éreintante crachée de la bouche du diable, l’insoumis frissonnait. Jadis avec eux, seule la fièvre de la rage avec réussi à toucher son âme. Même la bonhomie l’avait laissé choir dans les rigoles des caveaux du Coquin. L’encre de ses yeux grisâtres avait prit une couleur bien insipide, parsemés et entremêlés de sillons rougeoyants de colère. L’homme frétilla des paupières dans l’espoir d’éteindre les ardeurs salines qui, tel le cœur passionné d’un volcan, éclaboussaient par des jets brûlants les plus intimes convictions. Cette hypothèse le fit rire. Son amusement s’éleva bientôt en vacarme, devenant une cacophonie insoutenable. Il en rit jusqu'à s'en brûler les poumons, avant de cracher à ses pieds un peu de sang coagulé. Les personnes l'avoisinant le dévisagea longuement, éprit d'une profonde colère envers lui et son côté irrespectueux. Mais pour lui, la comédie devait prendre fin. Il avait simplement les sens étourdis. « Il ne va pas bien ? » « Qu'est-ce qui lui prend ? On ne fait pas ce genre de chose ! » « Qu'il disparaisse ! »Il ne les écoutait même pas. Est-ce qu'ils avaient entendus ? Est-ce qu'ils avaient vus ? Est-ce qu'ils connaissaient cette sensation folle d'un tourbillonnement indistinct de sang et de larmes qui valsent dans l’esprit, sans jamais se fixer, sans jamais créer autre chose que ce vertige infini ? Cette sensation qui fait perdre pied avec la réalité, une sensation qui détruit les repères et qui fait soit rire ou soit pleurer ? Un malaise concret qui s'ajuste à l'angoisse, et qui peut venir tordre les boyaux dans le simple but de faire vomir l’hilarité survenue ? Tout ce sentiment est si drôle, si dantesque, si intense et si effrayant à la fois. Ils savent ce que c'est ? Bien sûr que non alors comment osent-ils ? La flamme n'était bientôt plus qu'une faible lueur tamisée sur son bougeoir. L'angoisse le heurta un instant. Silence corrosif. Silence vicieux. Le silence humide contre les branches froides de ses membres. Les sous sols sombres qui suaient son angoisse au même titre que sa peau. Et c'était pourtant un brouhaha infernal qui s'animait dans son crâne, frappait contre ses tempes. Cacophonie où les basses menaient largement, sons lourds, sourds, avec des échos de migraine contre les tempes. Le silence assassin qui s'enroulait autour de sa frêle carapace, pénétrait ses chairs, fêlait ses os. Les perles salées s'arrêtèrent dans ce silence morose. Il réalisa. La comédie devait prendre fin. Elle devait. Il ne devait pas y avoir de regrets. Il se mit à balayer les lieux d'un regard insensible. Ses lèvres en quête d'air semblaient s'assécher, ne formant plus que deux fines croûtes de sang et de peau morte. Noyé dans son propre souffle, il suffoquait intérieurement. Si l'écho mélodieux ne s'était pas une nouvelle fois manifesté, il se serait laissé succomber. Avec quelle sombre manipulation allait-il encore l'abuser ? Les restes de raison qui s'échinaient avec sa folie dans les broussailles de son esprit. Dans un craquement mécanique il pivota douloureusement son corps. La haine l'avait mis en appétit. Celle-là même qui l'attirait dans un tourbillon de maux insoutenables. Il la haïssait autant qu'il la désirait. Son rire gorgé de volupté à nouveau le fit trembler. Il s'étrangla l'espace d'une seconde. Une sensation désagréable sous sa pomme d'Adam lui fit réaliser l'horreur. Les fragrances se répandaient et se mélangeaient pour former un cocktail des plus enivrants. Il s'était autorisé l'impensable. La folie était son excuse, son échappatoire. Il lui semblait bien avoir perdu la tête. Le monde autour de lui se mit à valser rapidement. C'était devenu un vrai combat entre formes et couleurs. Dans sa girouette infernale. Le monde n'avait plus la même gueule. Le monde semblait se tintée de gris. ***~ La seul chose qui nous est permis de faire... c'est d’espérer que nous n'aurons pas à regretter les choix que nous avons fait ~A travers le vent glacial qui souffle, il voit les branches dénudées des feuillus se briser en un lourd craquement. Le feu ronronne comme un félin. Il le ressent au fond de son thorax. Le feu qui brûle en lui au même rythme que celui qu’il laisse derrière lui. Cette chaleur hivernale qui lui pique les yeux, qui lui brûle la gorge, qui éveil ses sens. Dès petit, sans personne sur qui compter, il a fallu faire ses armes, il a fallu prendre sur soi et apprendre à vivre avec uniquement de soi et de ce qu'on trouve. Bien vite, il s'est montré assez souple dans ses mouvements pour voler, assez rapide pour courir lorsqu'on le prenait sur le fait, il a appris à vivre librement à quelques détails près. Comme on dit, la liberté des uns s'arrête là où celle des autres commence. Dans ce monde, il a vite compris la liberté n'a jamais été qu'une illusion, une utopie commune à tout le monde, à tous ceux qui ont des chaînes, tout le monde à des chaînes, qu'elles soient physiques ou mentales. Enfant solitaire, il a toujours été seul, il n'a jamais pris le temps de s'attacher à ceux qui lui portaient attention, à ceux qui estimaient qu'il valait assez pour qu'on le regarde. Pas depuis ce jour. Il n'y a que la rage et la cruauté qui gronde et qui enfle. Seulement cela. Parce qu'il le détestait, ce grésillement. Parce qu'il l’adorait, ce son grondant dans sa poitrine. Parce qu'il se sentait trahie par la nature. Tout n'était que cris, que désolation, que gémissement. Il les avaient entendu crier à l'aide. Mourir à petit feu. Il les avaient entendu crier à l'aide. S'époumoner pour survivre. Il les avaient entendu hurler à l'aide. Détruire ce qu'il leurs restaient pour survivre. Il les avaient entendu se taire, dans un silence morbide qu'il ne lui connaissait pas. Il sentait les larmes et le chagrin. Il avait vu des choses. Terribles, grandes, effrayantes, stupéfiantes. Il avait vu des choses. Il avait vu des éclaboussures entre ses mains, qui n’étaient qu’un sombre rappel. Un rappel d'une catastrophe qui n'était même pas achevée. Tandis qu’il hurlait. Il hurlait au répit. Il hurlait à l’aide. Qu’on l’achève ou qu’on le sauve. Rien n’avait plus d’importance. Alors, encore une fois, il se joignit à son hilarité dans une cacophonie informe. Laissant les larmes coulées abondamment. « Qu'ils aillent se faire foutre. » PSYCHOLOGIE Il n’est pas poli. IL n’est pas un modèle. Il est froid et inaccessible. Il s’exprime d’une manière stricte et insultante. Et cela claque toujours comme une gifle. Et c’est sans appel. Ce n’était ni l’eau salée de la tristesse, ni la roche cristallisante de son sourire, ni les feuilles de sa chevelure dégoulinantes d’eau qu’il sentait. Ce n’était pas ce genre de parfum étouffant qui lui chatouillait les narines. C’était ce goût désagréable, cette amertume qui glissait dans ses narines, s’infiltrait jusque dans ses poumons. Lui, il n’a toujours la soudaine envie de dépouiller la peau comme des rats. Humiliations, avanie qui l’avait tant attendu et qui attendait ceux qui s’opposent à lui, à la sortie, le rendant à la limite de l’hystérie. Ce n’est qu’un visage de marbre ne décelant aucune once d’intimité, laissant paraître un contrôle totale de la situation. Et c’était toujours le cas. Il n’est pas un pion utilisé, malmené comme dans un jeu d’échecs. Illusion dont lui seul est le dominant, ne se retournant pas contre lui. Il est soumis à ses propres pouvoirs, il ne s’avérait pas tout à fait vaincu. La maîtrise de ses bien qu’il n’hésite pas à mettre en scène, offrant le plus beau des spectacles, comme des dentelles sombres, complètement violente et horrifiante. Se nourrissant de cette rage malsaine, rassasiant son appétit de loup affamé. Le jour où il se perd, où il s’éclipse du contrôle, il y a toujours beaucoup de dégâts dans la fourmilière. Et un jour, un fameux jour, une bougie revit dans la prison de son cœur. Une parfaite, un délicieux savoir d’un pouvoir sanglant qui glisse sur la peau. Et revît. Le régal, le parfum de l’extase qui vient embraser des lèvres meurtries. Par le temps, il ouvre les yeux et découvre derrière le silence de ses paroles un doigt pour le contrôle, une pensée pour agir. Lui qui semble savourer son esprit rouillé par ses ténèbres dans son crâne. Les engrenages diaboliques d’une vie poussiéreuse qui crient, qui hurlent et qui finissent par ricaner sous cette savoureuse douleur qui revient à nouveau, pour amener, éternellement, la satisfaction de pouvoir se laisser aller. Rien que cela. Il gronde, il n’y a qu’une parole à prononcée, et l’étincelle jaillit, les gestes frappent. Parfois un rire, pour éveiller la mémoire. Qui est-il ? Qui est cet individu bestial, cette ombre dantesque qui erre dans certains souvenirs, cette fraction de passé qui hante la mémoire ? Vous semblez n'êtres qu'un écho pour sa personne, un murmure venant de loin, Il vous veut briser meurtri fatigué éreinté anéanti. Il vous veut détruit. Il ne vit que pour voir vos mains s'agripper sur le moindre petit rebord que vous pourrez trouver au moment venu. Il voudra de la détresse, de la perte. Il souhaitera voir la chute, la sueur faire glisser vos doigts un à un. Et vous sa poupée. Vous pensiez avoir un tempérament assez virulent et capable de déjouer ses tours, mais vous faites erreur, seulement une rude décadence. Il est décrit comme « un maniaque de la propreté » par ceux qui le connaissent personnellement, car il préfère que son environnement soit impeccablement propre. Il ne supporte pas que lui-même soit souillé d’une quelconque tâche. Cependant, si la situation l’exige, il ne le prend pas en compte. Mais il n'a foi qu'en lui, et seulement lui. Il se pense capable de tout et personne ne lui a dit le contraire. Une attention dangereuse, dévastatrice, qu'il vaut mieux pouvoir éviter. Il dirige les pas à la volonté selon ses désirs. Il est surprenant, il est celui qu'on ne voulait pas. Intelligent, mais pas fin orateur, il est adepte de l’humour noir. Il est respectueux, selon qu'on veut qu'il soit. PHYSIQUE Il est de petite taille, mais reste tel qu’il est. Il n’a pas peur du noir, pas plus que de la solitude, ou de la fin du temps. Il n’a plus peur de rien, il se regarde dans le miroir sans détourner les yeux d’un gris intimidant. Il ne se trouve pas spécialement beau, avec cette peau blafarde, ces cheveux mi-longs, rasés sur les côtés et le regard assombris. Mais il s’en fiche, il n’essaie même pas de deviner ce que les autres voient et ce qu’il pourrait leur plaire. Il ne fait que sortir et dévorer. Faire bonne figure l’importait peu, entourer de ses adversaires d’un halo menaçant lui semblait plus alléchant. Il est parfois confronté très certainement face à des femmes dont l’épiderme dégageait l’odeur des plaisirs charnels auxquels il s’abandonnait par moment. Mais il lui faut plus qu’un beau visage pour le convaincre. Il n’a que des yeux alimentait de haine et de violence. Il ne possède qu’un cœur de pierre sous son petit gabarit, qui le soumette à des situations bien plus perverses et malsaines. Malsain dans les paroles, agressif dans les gestes. IL ne fait qu’une bouchée avec son physique développé, de ses autres personnes qui ne gênerait pas pour en faire autant. De par ses cheveux savamment ébouriffés d’un noir de jais subjuguant et par ses vêtements sombres, un trou béant est présent, dérober et perdu au fond d’un puits. C’est un être de petite taille qui a déjà tâché de ses ailes sombres la couleur blanche, bien plus que le sang ? C'est un cygne noir qui compte tâcher de ses ailes sombres la couleur blanche, bien plus que le sang ? Mais le fera-t-il couler pour autant ? Sans doute que non. Les hommes sont déjà souillés alors pourquoi salir ses mains ainsi. DERRIÈRE L'ÉCRAN
| ► Pseudo : Pendulum :3 ► Âge : 19 ans ► Comment as-tu connu le forum ? : Par hasard :3 ► Et sinon, tu en penses quoi ? Beau, très bien *w* ► Tes disponibilités : Dès que je peux ! ► Code du Règlement : EUH ► Une Question/Remarque ? Non
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Sujet: Re: Yatogami Levi Mer 11 Mar - 17:56 | |
| Ouaip, mais l'idée n'a pas encore été mise en place ^^' Après il semble pour le moment y avoir une majorité de oui, donc on pourrait peut-être négocier avec Kusmi pour te donner ton DC maintenant, avec les 75 points, mais ça je ne suis pas sûre... Faudra voir xP |
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